Poser cette question il y a 50 ans aurait semblé saugrenu à la plupart des personnes interrogées tant la réponse était évidente : il fallait travailler, c’était presque inscrit dans les gènes.
Et aujourd’hui, vous les jeunes et les moins jeunes, les belgo-belges et les autres, qu’en pensez-vous ?

Répondez à notre débat directement ou laissez l’inspiration venir en lisant un texte de François De Closets « Heureux en travaillant » (*) ou un autre d’André-Comte-Sponville « Notre oisiveté bien gagnée ». Ce dernier texte se trouve sur le magusine du FIJ-St Gilles, un de nos partenaires, centre de réinsertion socio-professionnel, avec lequel nous collaborons actuellement sur le thème du travail ...
Une vidéo, extraite de notre rencontre LIVE avec les stagiaires du FIJ est disponible dans le magunews

(*) Ci-dessous dans "Pièces jointes"

44 commentaires Répondre

  • Répondre

    Un choix s’ilvous plait , je suis contre toutes forme d’oppression !!

  • j.k Répondre

    jeune homme de 44 ans ; la firme cesse ; il touche une grosse indemnité on lui dit à l’ONEM que rien ne presse vu le pactol qu’il a touché
    il a fallut 6 mois pour retrouver un job
    a 44 ans impossible de rester sans travail le restant de ses jours
    c’est une question de dignité

  • hemjy Répondre

    Je veux travailler, mais je veux une famille ! Pour moi, c’est un choix difficile. J’ai le droit de décider de ne pas travailler. Mais si je veux faire vivre ma famille aisément, ça devient un devoir !

  • papillon Répondre

    J’ai fêté les 27 ans de 20 ans, et ai beaucoups réfléchi sur les différents sens de la vie. Sans travail actuellement, je me suis mise à repenser le travail, et j’ai décider que le "travail" (venant de trepadium, instrument de torture) serait dorénavant une façon de faire resortir mes dons. Il y a quelques années,je me suis mise à réfléchir qui j’étais (le plus exactement possible).A la suite de cela, j’ai décidé d’exploiter différentes partie de ma personalité et de les proposer aux autres(statut indépendant) et à un employeur potentiel. Cela me permettra de gagner ma vie dans le velours et le coton. Mais je pense que si on est dans son chemin, les embuches ne seront pas énormes et le chemin s’ouvrira.

    • Laure Répondre

      Je suis d’accord toi. Le mot "travail" n’est pas positif ! Il ne dégage ni joie, ni plaisir... seulement l’idée d’efforts pénibles ! Quand on a la chance de faire quelque chose qui nous plaît, il ne s’agit plus tellement d’un "labeur" mais d’un épanouissement personnel ! Comment ne pas devenir aigri quand on passe les 3/4 de son temps à s’adonner à quelque chose qui ne nous convient pas ?

  • Girouette Répondre

    A la lecture de l’ensemble des contributions au forum, je me pose la question du sens même que l’on porte au "travail". Il est à la fois :
     une activité qui occupe, une source de revenus (donc un moyen d’exister matériellement),
     une forme de concrétisation des aspirations personnelles,
     un moyen de valoriser son être social et de s’impliquer dans la société,
     un effet d’une éducation qui depuis toujours nous a pré-destiné au "devoir" de travailler,
     une nécessité que nous imposent les exigences économiques et sociales de la société dans laquelle nous vivons et qui est basée en grande partie justement sur la valeur productive de l’individu.

    Alors peut-on vraiment choisir entre "un droit ? un devoir ? un choix ," Selon sa propre expérience de vie et ses propres aspirations, on se sentira plutôt dans l’un que dans l’autre.
    Personnellement, le travail est une suite attendue à mon parcours scolaire. J’essaye d’en faire un choix pour affirmer ma manière de m’impliquer dans la société et j’en revendique le droit quand je considère que le travail que j’exerce n’est pas estimé ou est mis en danger ou qu’on m’empêche de le faire : ai-je le droit d’exercer le travail de mes rêves ? est-ce que la société favorise mes choix ?
    Si ce n’est pas le cas, le travail s’en tient uniquement au devoir, c’est une manière d’accéder à une réalisation matérielle et de concrétiser d’autres choix - en dehors du travail justement.
    Tout cela relève d’une vision productive et consummériste.
    Il serait sans doute intéressant d’imaginer ce que recèle la valeur "travail" dans d’autres sociétés.

    • fernand Répondre

      Quand une société est assez riche pour être en mesure de payer des citoyens pour ne rien faire, il s’agit d’une société privilégiée. Elle peut rester privilégiée tant que le plus grand nombre travaille. Dès qu’un certain nombre de citoyens se pose la question de savoir si le travail est utile, nécessaire, obligatoire, ou un droit, elle commence à virer dans la pauvreté. Une génération suffit pour l’appauvrir. Il restera ensuite à la prochaine génération deux possibilités : ou elle s’expatrie, ou elle recommence sans rechigner ce qu’ont fait nos aïeux.

  • isabelle Répondre

    le travail est-il un choix ?

    je me dis alors : si je gagne au loto , vais-je continuer à travailler , là, je pourrai choisir .j’en déduis que si je travaille c’est que quelque part , je le dois pour diverses raisons (loyer, nourriture etc, études des enfants )
    donc , à moins que d’ être rentier, on est obligé de travailler pour vivre.

    ai-je le droit au travail : si je repense à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen , il me semble qu’il y est écrit : tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi, j’en déduis, que si l’un a le droit de travailler , l’autre également.( y’a du boulot, si j’ose m’exprimer ainsi !)

    ai-je choisi de travailler, suis-je heureuse du fait que je travaille ? en éliminant la question financière pour ne prendre en considération que la part de bonheur que le travail m’apporte, ai-je choisi le travail pour avoir du plaisir ? Le travail est source de rencontres, ça , j’aime.
    le travail est générateur de découvertes, très bien.
    le travail permet de passer le temps ! mais, il y a tant à faire que ce n’est plus un bon argument ! ..
    le travail permet surtout de garder le contact avec le monde extérieur.
    moi, j’ai essayé les deux : le sans travail : foyer, enfants, le tourner en rond parce que jeune et pas de boulot !
    et le travail + les affaires courantes familiales !
    je préfère : le compromis : un peu de travail et un peu d’affaires courantes familiales !!!
    Là, je n’ai pas le choix financier, mais dans qqs années, j’espère lever le pied et prendre un temps partiel pour justement profiter de tout ! et pas seulement travailler.
    une chose importante : les enfants et les parents devraient avoir plus de temps ensemble , ce qui donnerait du travail à ceux qui n’ont pas la chance d’en avoir .
    le travail, c’est aussi une chance.

  • Fernand Répondre

    Je pense qu’il ne faut pas se poser la question," Suis-je heureux en travaillant ? " Mais se dire que tous nous devons travailler.D’abord pour subvenir à nos besoins et d’autre part, pour apporter à la société la richesse nécessaire. Comment pourrait-elle éduquer et instruire ses enfants et distribuer des allocations aux malades, aux vieux si la partie valide et jeune n’apportent pas des richesses. Je crois cependant que le fait d’obliger tous à suivre l’enseignement jusque 18 ans est l’ennemi du travail. En effet, un jeune entre 14 et 18 ans passe de l’enfance à l’âge adulte. Si il est motivé par des études pas de problème, on ne devait même pas l’obliger à suivre un parcours scolaire. Si par contre il est peu ou pas motivé pour une activité intellectuelle, il doit se mettre au travail à 14 ans et dès l’âge adulte il aura pris l’habitude. Il trouvera tout normal de se lever chaque matin ouvrable pour entammer sa journée de travail. Il aura l’avantage par rapport à l’étudiant d’être intégré dans le monde adulte avant lui. De ce fait, il bénéficiera d’une compensation à son éventuel frustration. Par contre, si il est obligé de fréquenter des écoles contre son gré, il se trouvera à 18 ans dans le monde de la contestation. Et, la société doit s’occuper de sa socialisation.

  • laure Répondre

    Je crois que le travail est tout d’abord un devoir. Pour que notre société avance et évolue, il est nécessaire que la population travaille. On a tendance à oublier que nous ne sommes pas seuls, que notre société ne fonctionne pas toute seule ! Nous sommes aussi les acteurs de celle-ci !

    Par contre, je considère que le chômage est un droit. Mais un droit dont il ne faut pas abuser... Il ne faut pas oublier que c’est vivre sur le dos d’une partie du salaire des autres !

    Vivre sans travailler... est-ce bien possible ?
    La vie serait-elle vivable sans occupations ? Chaque être a besoin de se sentir utile, d’avoir un moteur ! Mais encore faut-il exercer un boulot qui nous épanouisse ! Pas facile de faire ce qu’on aime lorsqu’on a pas de diplôme, ou d’expérience...

  • jeanP Répondre

    Grosso modo ; pour chaque type de travail il existe un marché.
    .On peut définir le travail comme une activité qui s’exerce dans un marché en y apportant une valeur ajoutée ..Ou bien cette valeur ajoutée procurera une simple satisfaction et c’est le cas du travail bénévole ou bien le plus souvent elle sera source de revenus, de salaires , de traitements, de bénéfices et....d’impôts .

    Les rapports de l’individu au travail sont très complexes ;il aime ,il n’aime pas ,il craint de ne pas en avoir, de ne pas en avoir assez , d’en avoir de trop C’est le moyen de gagner sa vie .et d’avoir si possible des superflus et pourquoi pas des superflus de superflus

    Une société sans travail n’existe pas, les cailles ne tombent pas toutes rôties dans la bouche.

    SI c’est grâce aussi, en partie, à une bonne adéquation entre le travail et le marché que le monde occidental à connu son développement ..Actuellement ;à l’heure de la mondialisation ,les marchés sont soumis à de profondes modifications.
    Tout comme la vie, travail et marché sont constamment en évolution réagissant l’un sur l’autre avec des périodes critiques ou des ajustements difficiles, des couacs engendrant du chômage lorsque des forces de travail ne trouvent plus de marché.

    Confronté au chômage,l’individu voit le moyen qu’il avait de gagner sa vie ne plus être reconnu il en ressent le sentiment d’une injustice d’autant plus qu’il n’en est pas responsable. .Savoir s’en sortir est une démarche difficile,il faut avoir assez de force psychique pour se remettre en question au moins sur un plan , celui de son travail antérieur . Heureusement la société peut se permettre de l’aider dans sa quête C’est certes une situation déplorable ,mais que dire du désespoir de ces africains risquant leur vie sur des embarcations de fortune pour venir travailler en Europe.

    Le chômage ne devrait être que passager il convient de tout faire pour le résorber .Les acteurs de la chaîne du travail ,qu’ils soient politiques ou économiques, doivent s’efforcer de « lire » au mieux le marché afin d’y créer des plages de travail possible et ce avec l’aide,( on peut aussi y croire )du moins en Wallonie , du plan Marshall.
    Il y va du bien être et de la qualité de vie de notre société.
    Jean P

  • Kevin Répondre

    C’est un droit car on a le droit de travailler car on ne peut pas nous interdire de travailler. Un devoir car on doit travailler pour vivre pour faire vivre notre famille. Un choix car on peut choisir le travail que l’on veut faire ou tout simplement si on veut travailler ou pas.

  • AL Répondre

    BIen evidemment après maint réflexions,je pense d’un côté que le monde nous laisse pes le choix de faire autre chose de favorable qu’à par travailler pour pouvoir travailler encore, car le travaille aide afin de comprendre mieux.

  • ParaziT(Gabriel) Répondre

    Moi je trouve que c’est une question de barage....c’est les trois en meme temps !!

  • Françoise. Répondre

    Le travail, un choix ? Le choix de travailler ou... de ne rien faire ? Mais peut-on vivre sans rien faire ? Je suppose donc que le choix doit se faire entre un travail rémunéré -un métier- et une activité qui ne rentre pas dans ce système organisé. Et pourquoi ne pourrait-on pas se consacrer entièrement à un projet de vie personnel ? Un artiste a besoin de loisir, de liberté pour réaliser une oeuvre... il en attend reconnaissance et rémunération futures. Et il travaille, mais hors des cadres.

    On ne peut vivre d’éternelle(s) vacance(s)... Le mot "vacances" n’a d’ailleurs de signification que par opposition à la notion de labeur. L’oisif, en perpétuelle vacance, ne connaît pas les vacances.

    Le choix est plutôt celui d’un métier. Chacun devrait avoir la possibilité de choisir une activité qui lui procure satisfactions personnelles, reconnaissance sociale et niveau de vie décent. Belle idée, parfois difficile à réaliser.

    A vingt ans, j’ai débuté avec difficultés dans un métier que j’avais choisi sans bien le connaître ; à trente ans, je n’en aurais changé pour rien au monde..."Quand on n’a pas ce que l’on aime, il faut aimer ce que l’on a". Je l’ai quitté, à soixante ans, lassée des conditions dans lesquelles il me fallait l’exercer. Je suis très heureuse d’avoir pu travailler quarante ans durant ; la retraite m’a apporté liberté et quiétude, mais aussi un sentiment d’isolement social et d’inutilité contre lequel il me faut toujours lutter.

  • franboise Répondre

    le travail c’est la santé (musique ...henri salvador)
    moi, en rhéto, jen étais arrivée à travailler, c’est transformer pour améliorer...
    eh bien, je n’ai encore jamais trouvé cette précision en défaut... et vous ??

    c’est une définition joyeuse, optimiste, vraie
    bref elle m’amuse
    et quand je travaille fatiguée...j’y pense et cela me requinque

    je la fais, enfin j’essaie..., de la faire découvrir par mes élèves.
    A mes enfants, c’est pour plus tard, parce qu’ils se moquent de tout ce qui vient de leur maman
    <<<<<<<<<<<<<p>

    • ANNE Répondre

      Pour moi c’est très important surtout pour une femme, c’est valorisant et permet d’avoir une vie personnelle indépendante de sa famille et du cercle habituel des amis, c’est une ouverture sur le monde, bien sûr il y a des problèmes mais c’est passionnant.

  • yvonne Répondre

    le travail ! dans un ordre chronologique je placerais "le travail un devoir " un premier lieu car chaque être humain doit se prendre en main et donc subvenir à ses besoins,ensuite , un droit puisque chacun doit pouvoir subvenir à ses besoins, un choix cela devient plus difficile ; mais si l’on considère le travail comme un service à la société il y a moyen d’y trouver son épanouissement, il n’y a pas de sot métier.

    • mohamed Répondre

      Pour moi le travail est d’abord un droit et chacun doit pouvoir revendiquer ce droit. bien sûr l’etat providence n’existe plus mais tout état qui se respecte doit garantir le travail pour tous. Ensuite,le devoir : tout citoyen doit travailler pour mieux gagner sa vie, pour apporter sa contribution à la société donc se rendre utile. Pour moi, on ne choisit pas de travailler. Peut-être le choix se fera au niveau de différents métiers qu’on vous propose.

  • Monique Répondre

    Le travail est rarement un choix. Plusieurs ménages sont obligés de travailler à deux. J’ai vécu à une époque ou il était encore possible pour une maman d’élever ses enfants au foyer.ceci est devenu très difficile si pas impossible.

    • mous Répondre

      Bonjour Monique. Je suis d’accord avec toi, je voyais beaucoup de mamans au foyer quand j’étais petit, mais de nos jours la plupart des mamans sont au travail, et la maison est de plus en plus vide. Quand les enfants rentrent de l’école, soit ils trouvent personnes à la maison et font leurs devoirs tout seul, soit ils trouvent une nounou qui les attendent. C’est vraiment dommage d’être arriver à ce point là. Moi, j’ai des très bon souvenirs de mon enfance avec ma mère qui s’occupais vraiment de moi, tout le temps, je pensais même qu’elle était là que pour moi.

    • Farouche Répondre

      Coucou.
      Je vis seule avec 3 enfants et je me suis découvert une passion pour l’informatique. Le problème, j’aime apprendre seule, chez moi, à mon aise, à mon rythme, avec des tutoriels et concilier ma passion avec mes tâches ménagères et l’éducation de mes enfants. Mais le chômage en a décidé autrement. Il FAUT bouger et tant pis pour les enfants et tant pis pour les pénalisations si on bouge pas assez. Conclusion : bouger ok mais pour faire au moins quelque chose que j’aime surtout a mon âge. Donc, je me suis trouvée assez vite à faire une formation en informatique comme webmaster. J’aime la formation, j’aime ce que j’apprends mais quelle répercussion sur ma vie privée avec mes enfants. Les reproches commencent à affluer car je rentre vers 18 H au soir. Pas de congé le mercredi après-midi. Mes enfants ont 13, 10 et 4 ans. Je commence à m’en vouloir. Mais que faire d’autre ? Arrêter et attendre les ennuis ? Très peu pour moi. Franchement, je n’ai pas le temps d’aller travailler ou que le chômage me trouve un boulot juste le matin. Je suis partante là. Direct même. Je ne serai même pas trop difficile. Voilà pour mon cas. Mais apparemment, c’est pas près d’arriver. Donc, il faut mordre sur sa langue et assumer. Même pas le temps de réviser mes cours le soir, même plus le temps de lire une histoire à mon fils de 4 ans,... Je me demande si ça va pas finir par me dégoûter tout à fait de mon choix. En attendant, j’essaie de tenir, d’encaisser et d’assumer et en gardant ma bonne humeur et mon humour.

      • Farouche Répondre

        Merci à Philippe (je pense) de m’avoir signaler que j’avais fait une erreur dans l’adresse de mon site. Toutes mes excuses. L’adresse est : http://farouche.creations.free.fr/
        Encore merci et vraiment désolée d’avoir raté le débat avec les gens du magusine mais je pouvais pas me permettre de me faire arnaquer de 150 euros. Le bonjour à tout le monde 😉
        Amitiés, Fa et les ptits.

      • Françoise V. Répondre

        Salut, Farouche !. J’aime ton pseudo. Haut les coeurs ! Concilier vie familiale et métier n’est pas facile,je le sais d’expérience. Cela demande de l’endurance et parfois des contorsions d’acrobate... Mais les enfants sentent très bien qu’on les aime, même si, parfois,il faut leur refuser une histoire ou une sortie. Et surtout pense que tu leur donnes par ta façon de vivre, bien plus que par tes paroles, un modèle. Tu es pour eux l’exemple d’une mère qui se bat pour elle, comme pour eux ; celui d’une femme qui fait tout ce qu’elle peut pour prendre une place active dans la société. Et cet exemple est très important.
        Bon courage et très amicalement
        Françoise V.

    • Répondre

      Bonjour Monique. Moi-même étant jeune maman a élevé seule ma petite fille de 3 ans, je suis tout à fait d’accord avec vous. En effet, on peut dire qu’être maman est vraiment un travail à temps plein ; le travail est un droit, d’accord, mais quand débute une "deuxième" journée à 17h en rentrant à la maison avec son petit "bout-de- chou" ,ce travail devient assurément une obligation !
      Il ne faut pas se leurrer : aujourd’hui sans travail pas de vie "convenable", pas moyen de voir plus loin et de faire des projets, et hélas, il faut déjà "se battre" pour avoir ce droit au travail.

  • L’autre Toine ! Répondre

    Combien, sont-elles, sont-ils, aujourd’hui, 50 ans "après" à fuir leur Pays où la misère règne en maitre ?
    Sommes nous prèts à les accueuillir et leur donner la place qui leur revient ?

  • Mita Répondre

    Pour moi, travailler est un devoir mais il doit pouvoir être choisi. Travailler veut dire servir à quelque chose, participer à une évolution,, changer plusieurs fois de métier c’est le pied ; on rencontre d’autres façons de travailler, rencontre de personnes différentes, .Les congés qui suivent sont bien appréciés. Et comment çà c’est alors un droit
    Mita

  • Danielle Répondre

    Le travail est d’abord un droit. Comment vivre sans reconnaissance ? sans rétribution ? C’est génial quand il devient choix. Mais c’est presque un rêve quand on regarde les conditions de travail à travers le monde...

  • Robert Répondre

    Robert le dit :

    Vive le travail...si c’est un plaisir !

    • Répondre

      ouaich robert on est daccord ac toi ac cokre !!! ^^

    • Répondre

      ouaich robert on est daccord avec toi avec scaraB !!!^^

  • jeannine K Répondre

    je pense que de nos jours tous les jeunes ambitionnent de travailler, d’être reconnus comme personne utile mais leurs combat est beaucoup plus dur que le nôtre, à l’époque de notre jeunesse

    • Saliou Répondre

      A l’époque de votre jeunesse comment était le travail ? Quelles étaient les démarches à effectuer pour avoir un boulot ?

  • Nadine Répondre

    SUPER INTERESSANT. Ravie d’avoir pu participer. Effectivement le travail a toujours été mon premier hobby et je n’ai eu qu’à m’en féliciter durant 50 ans.
    MERCI BCP

  • marie-claire Répondre

    Le travail est un devoir valorisant et épanouissant.
    En effet c’est par le travail que l’on se réalise et que l’on participe au développement de son pays ou de l’univers.

  • Koala (Myriam) Répondre

    HELLO !Moi, j’aime autant ne pas travailer !

    • Danielle Répondre

      t’es cool,toi !

    • francesco Répondre

      c’est vré que personne aimerai travailler mais pour gagne sa vie il faut travaille et pour gagne argent.
      Sans travail on ne gagne rien du tt

    • fernand Répondre

      Chère Myriam, Au moins tu dis les choses tel que tu le penses. Cependant, as-tu réfléchi au fait que si tous nous pensons de la sorte, il n’y a pas de richesse pour distribuer aux vieux,aux malades, aux infirmes. Il n’y a rien pour construire et entretenir nos infrastructures. Si tu ne comprends pas, fais un voyage au Congo et tu verras le genre de société que nous aurions avec ton état d’esprit.Tu ne peux pas faire ton bonheur toute seule. La vie en société exige que chacun apporte sa part.Réfléchis et réfléchis bien.

    • ruelle sébastien Répondre

      Aussi bien autres sens tu es au chômage alors tu auras des problèmes si tu travail pas tu perd tout, la maison, famille, et trouve dans la rue tu as plein de dettes.

  • marie Répondre

    Je suis d’accord avec certains arguments

  • Dadu Répondre

    Il y a quelques années j’ai lu une statistique qui disait que seuls 22% des belges faisaient un travail qu’ils aimaient. Or, à l’époque, on pouvait en changer beaucoup plus facilement qu’aujouird’hui. Dès lors, plutôt que revaloriser la travail, n’est-ce pas notre société qui doit se poser la question du bien-être de tous en proposant des solutions alternatives qui seront probablement moins rentables à d’aucuns.

    • clodomir Répondre

      ton articulet me fait penser à deux problèmes (solutions ?) :
      d’abord l’allocation universelle(on n’en parle plus guère)
      et, bien sûr, celui de la retraite : l’âge et le montant des pensions.

      réorganiser la société, travail de titans !

    • Répondre

      t’as raison vive la glande

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