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61 commentaires Répondre

  • mariéeseule Répondre

    Ca vous donne du bonheur chacun pendant 12 ans ,ensuite la note est salée ,reproches,remise en question,évocation négative de situation inexistante contre laquelle vous ne pouvez contester de crainte d’agraver le malentendu,mensonges,bref cest dur et ils me disent qu’ils osent me faire et me dire tout cela tellement ils savent que mon lien est profond.....mais moi je sens que mon lien élastique va se briser !!!!je dois me protéger d’eux comme d’ennemis qui me lancent toujours sur des pistes de"thérapies familiales"Cela ne me sert à rien ,le visde serait moins stressant

  • Danielle Répondre

    Curieuse question tant avoir des enfants nous paraissait être une évidence ! Aujourd’hui, je constate qu’ils m’ont surtout aidée à grandir. Merveilleuux retournement de situation !

  • Répondre

    Un enfant donne un sens à ta vie , une raison de t’accrocher.Je peux l’affirmer,car j’ai vécu plusieurs années sans enfants. Le vide permanent que je ressentais etait affreux, je pouvais tout avoir, mais être insatisfaite.je peux dire que si je n’avais pas mes enfants je n’aurai jamais eu la force de me battre pour vivre,et,travailler,ils sont ma raison de vivre, je vis au travers d’eux.Au moins,je me dis,que c’est ma plus grande réussite.

  • claudine Répondre

    Ca ne sert certainement pas à apporter "le Bonheur" : trop de soucis (maladies, fortes crises d’adolescence surtout si les enfants sont adoptés).
    Et pourtant, je n’échangerais pour rien au monde ma place de mère avec la place de "femme sans enfant".
    Malgré tous les tracas, mercis à vous mes enfants de me donner tous ces "petits bonheurs" : rires, connivences ... joies de vous voir grandir ... je suis la grand-mère d’une petite fille de 18 mois dont je m’occupe beaucoup (ma fille étant malheureusement seule pour l’élever) et je m’émerveille encore tous les jours même si je prévois que l’avenir ne sera pas toujours facile à vivre !

  • Répondre

    "Les enfants, ca sert a rien, faut les brûler comme au Brésil" citation de Didier Super

    • magusine A&T rédac Répondre

      C’est de la provoc ? Machin a dit ça. Bon (enfin non, pas du tout d’accord) et après, toi t’en dis quoi et pourquoi ?

      • souad Groupe Citadelle Répondre

        Nous avons était tous des enfants et vraiment nous avons endurée beaucoup de nos parents le bon et le pire. Moi, je sais ce que veut dire un parent,c’est l’amour,la vie ,alors d’avoir des enfants c’est la plus belle chose du monde que Dieu nous ait donnée. C’est à nous de suivre le rôle de bon parent avec nos enfants il n’y a pas de vie sans enfants.

  • Juliette Répondre

    Fichtre, je viens justement de faire un billet sur mon blog à ce sujet, en laissant les fonctionnalités évidentes (donner un sens à la vie, transmettre le patrimoine génétique...)pour me concentrer sur celles plus futiles et marantes : éviter les amendes et les antidépresseurs, faire de beaux dessins, trouver les petites choses, se faire bien voir, nous fournir des excuses, des passe-droit, etc... Si ça vous dis de poursuivre le débat avec un brin d’humour, vous être cordialement invité sur mon blog !

  • yaha Répondre

    UN ENFANT POUR MOI C’EST RENDRE LA VIE ACTIVE, LA FAIRE VIVRE SINON LA VIE DEVIENT UNE ROUTINE !

    Je n’ai pas encore d’enfant mais j’imagine un peu ce qu’un enfant peut m’apporter, à quoi je dois m’attendre. Pour moi, un enfant c’est très important pour la vie.
    Je trouve qu’un enfant c’est le bonheur de la vie et la beauté de la vie, c’est pour être aimer, l’aimer, apprendre avec lui et partager, en prendre soin, l’éduquer d’une manière convenable en espérant qu’il deviendra mieux que moi.
    Ce qui est triste c’est qu’il faut se mettre dans la tête que ce bonheur va peut-être rester dans la pensée mais qu’un jour il arrivera que ce bonheur ne sera pas tel qu’ il était quand l’enfant est présent il devra faire la même chose que nous : fonder sa famille.
    Donc quand on regarde bien, un « Enfant =Bonheur » mais pas toute notre vie. Il nous appartient, pour une durée déterminée, mais il faut être fier d’avoir construit une famille.

  • Francine Répondre

    Rien ne sert de nier l’évidence ; elle est là, claire et nette, comme l’amour qui est source de vie.
    Par une étrange et sublime alchimie, comme l’arbre donne es fruits, comme le marcottage fait naître une nouvelle plante, l’homme et la femme sont attirés l’un vers l’autre et leur couple, né dans l’amour, éprouve le désir profond de concrétiser ce doux sentiment en accomplissant cette oeuvre unique, l’être qui à lui seul sera à la fois "elle et "lui" : un enfant... leur enfant !
    Sans doute, par égoïsme au début, un bébé permet à ses parents d’assouvir leur besoin de câliner, de bercer, en somme de se faire plaisir mais ce petit être aura vite fait d’éveiller chez ses auteurs, le sens de leurs responsabilités, celui de leurs devoirs en même temps que le sentiment d’inquiétude et le besoin de l’élever avec des valeurs telles que la générosité, le partage, le don de soi et cela donnera toute sa signification aux mots "amour" et "bonheur".
    L’enfant est comme un miroir ; il est le révélateur de notre caractère, de notre personnalité, de nos forces comme de nos fragilités. Il nous observe, nous épie, nous imite, nous provoque, nous surprend sur notre propre comportement mais, si nous sommes capables de décrypter son langage et ses agissements, nous apprendrons, face à ses réactions à mieux nous connaître, à nous améliorer peut-être, pour être prêts à affronter les situations qui se présenteront immanquablement à nous.
    Plus il grandira, s’ouvrira à la vie, prendra conscience du monde dans lequel il cherche sa place, plus il sera apte à nous expliquer les choses de la vie d’aujourd’hui qui ne sont plus celles d’hier et que nous avons sans doute mal évaluées. C’est lui aussi qui nous éclairera sur les nouveaux problèmes de société et qui, inconsciemment réveillera nos idéaux de jeunesse un peu assoupis en nous rendant tout notre enthausiasme.
    Puis, l’enfant deviendra adulte, fera un enfant à son tour et ainsi de suite pour que la chaîne continue, comme le temps, inexorablement. Chaque maillon a son imortance et participe à l’histoire de la famille en nous rassurant quant à sa pérennité.
    peut-être, si nous avns été dignes de ses attentes, si nous avons rempli notre rôle de parents avec sagesse et amour, sera-t-il proche de nous et nous apportera-t-il son soutien à l’heure de la vieillesse et jusqu’au bout de la vie.
    Si tel est le cas, cela sera notre plus belle récompense.

  • Jeannine K Répondre

    Qui se pose la question ?
    Ceux qui n’ont pas d’enfants, ceux qui ont des problèmes de relation ? Les déçus, les frustrés, les exigeants, les dépressifs ?
    Cette formulation « ça sert ? » me dérange.
    Je ne me suis jamais posé la question en ces termes. Je dirais plutôt : avoir des enfants c’est quoi ?

    Un enfant équivaut à une maison disaient les anciens.
    C’est vrai, les enfants coûtent cher ; le couple sans enfants se permettra bien plus de fantaisies que celui qui a deux ou trois gosses.
    Mais connaissent-ils les joies, les douceurs, les caresses de la petite enfance ?
    Vivent-ils ces surprises, ces découvertes, ces émerveillements de chaque jour ?
    Bien sûr il y a les pleurs, les soins, les corvées, les maladies, les horaires exigeants, les sorties programmées en fonction des petits, les anniversaires réunissant au minimum
    12 enfants, les résultats scolaires ; la crise de l’adolescence, l’angoisse des examens ; la crainte de mauvaises relations, les sorties nocturnes.
    Mais en compensation que de gestes tendres, de joies, de rires, de connivences, de partage. Que de bonheurs intenses !

    Avoir des enfants c’est quoi ?
    C’est se retrouver 40 ans plus tard face à une famille largement agrandie, savoir en profiter avec mesure, à petites doses.
    C’est ne pas vieillir en solitaire. Rêver à l’avenir de ces générations qui vieilliront après nous, qui vivront les mêmes émotions à chaque fois uniques.

  • Vonvon Répondre

    Lorque j’étais jeune, je n’éprouvais pas la nécessité d’avoir des enfants. Mais au fil des années, l’envie a commencé par s’installer. C’est à partir de ce moment que je me suis senti pret à avoir d’enfants. Heureusement, je suis tombé sur une femme plein d’amour qui m’a plus donné cette envie.Actuellement, j’ai deux enfants qui me comblent de joie.Ils comblent le vide que je sentais autour de moi.C’est une grande responsabilité qu’il ne faut pas prendre à la légère.Il faut se senti pret avant de s’engager car notre responsabilité est d’autant plus grande que nous devons bien réflechir à ce sujet.Nous devons leur donner tout notre amour et les orienter dans la vie.

  • Hannah Répondre

    Pour commencer, la décision d’avoir un enfant se prend conjointement. Je ne conçois pas qu’un enfant puisse naître sans avoir ses deux parents à ses côtés tout au long de sa vie semée d’embûche. Même si de nos jours, les femmes n’ont plus besoin d’un homme pour concevoir un enfant. Je trouve cela très courageux de la part de celles qui font ce choix ou qui le font par obligation.

    Pour revenir au sujet qui nous intéresse, il faut commencer par se poser une question primordiale : "Que représente un enfant pour nous-même ? Un enfant, c’est un être à part entière. Quand il vient au monde, confiant, innocent, fragile, ... Il a soif de découvrir ce qui l’entoure, de marcher, de parler, ... Et pour cela il a besoin de beaucoup d’amour, de tendresse, d’écoute, de patience, ... Mais surtout, il faut lui parler et le câliné pour qu’il sache à quel point ses parents l’aiment car cela est aussi important pour lui comme le besoin d’être nourri, langé et de dormir pour grandir, se développer et s’épanouir. De cette façon, en grandissant, l’enfant saura qu’il pourra toujours compter sur eux et quoi que la vie lui aura réservé, ils seront (toujours) tant que la vie le leur permet là quand cela sera nécessaire.

    Pour conclure, j’aimerais simplement dire que très jeune, j’ai eu envie d’avoir des enfants et aujourd’hui ce besoin est encore plus fort.

    • lola Répondre

      Je n’ai pas encore d’enfant mais je pense qu’en avoir un, ça donne plus de responsabilités : on pense d’abord à l’enfant et pas qu’à soi.

      Tout le monde s’est posé des questions un jour ou l’autre à ce sujet, comme : " Est-ce que je serai un bon père ou une bonne mère ?"

      Et avec le temps on apprend à gérer tout cela. Ca ne s’apprend pas, on gère au fur et à mesure du temps qui passe.

      Malheureusement, il n’y a pas de recette miracle pour élever son enfant, autrement toutes les personnes utiliseraient cet ingrédient.

  • nicci Répondre

    C’est une joie formidable dont on ne se rend pas compte. C’est un univers magique qu’on découvre au fur et à mesure malgré les difficultés de la vie. En fait pour moi, c’est un monde suivi(on naît, on devient mère, on meurt). On se met d’accord soit à deux soit seule pour remplir un devoir.
    C’est une grâce que le bon Dieu nous accorde.

    • nael Répondre

      Ce qui m’est arrivé de plus beau dans la vie : « mon fils ». Aujourd’hui, il a 27 mois, quel bonheur. Je voulais tellement un enfant de ma chair. Il est clair que ce n’est pas toujours facile, mais ce n’est rien comparé à toute la joie qu’il nous procure. J’en suis tellement fière, c’est beau un enfant innocent qui ne demande qu’à grandir, j’aimerais le protéger de ce monde de brutes. Mais je pense qu’à force de vouloir le protéger, je ne ferai peut-être pas une bonne éducation : c’est important de savoir laisser l’enfant voler de ses propres ailes.

      • Répondre

        Des enfants, je n’en ai pas et je n’en veux pas, c’est malheureux mais je n’ai plus de conjoint et je me vois mal a 40 ans avoir un bébé. Je suis trop vieille. J’aurais peut-ëtre aimé en avoir mais avec un bon conjoint aimant et soutenant. De plus, je n’ai pas assez d’argent, je n’en ai que pour moi.
        Je ne voudrais pas mettre un enfant dans la misère noire.

    • FloFlo Répondre

      Moi personnellement, je n’en ai pas encore, mais je trouve que : "un enfant" c’est l’essence même de la vie, ça fait toujours plaisir de ressentir vibrer un petit être dans ses entrailles, de ressentir toutes ses émotions, de donner naissance à ce petit bout de chou, le voir grandir, apprendre à l’aimer et à le connaître, le suivre pas à pas pendant son émancipation, l’assister pendant les moments de joies et de peines, c’est ce qu’on appelle "être responsable".

      Pourquoi ? Car," l’enfant" nous transforme que nous le voulions ou non, nous apprenons et découvrons tous les jours.
      "L’enfant" c’est aussi avoir des racines et un arbre généalogique riche pour le renouvellement de sa famille.
      Sur ce, je suis contre ceux qui disent que ça ne sert à rien d’avoir un enfant, car si leurs parents avaient pensé pareil, ils ne seraient pas là aujourd’hui.

  • Bruno Répondre

    J’ai 29 ans. Je viens d’avoir une petite fille qui approche deux mois. Elle est toute mimi et super chouette, calme, dort bien etc.

    Lorsque j’étais plus jeune, je pensais pas forcément faire un enfant : je trouvais qu’il s’agissait uniquement d’un plaisir de parent : vers quel monde va t on, vers quel avenir pas très positif enverrait-on cet enfant, sur cette planète gérée par des incompétents et en train de se flétrir ?

    Je pense donc que la décision se prend pour soi, pour se faire plaisir, pour laisser un bout de soi, pour voir la tête qu’il a...

    Mais dès qu’il est là, nous sommes instinctivement poussés vers lui, plein d’amour et d’envies de partager... Alors, nous verrons ce que l’avenir nous réserve mais nous serons ensemble pour l’affronter, sur des bases d’une solide famille.

  • loua Répondre

    Tout d’abord, ça sert à combler notre désir profond, une envie intense. C’est à ce moment-là que la personne s’apprête à partager sa vie, à sortir se son propre espace, à s’ouvrir avec amour et passion à l’inconnu.

    • groupe citadelle Répondre

      je suis tout à fais d’accord avec vous ,je trouve que déjà le fait d’être une mère c’est la chose la plus mérveilleuse au monde et mes enfants de toute façon je les aimeraient comme ils sont :avec leurs naivetés,leurs bonté et aussi leurs méchanceté.

  • Répondre

    Je suis heureux de pouvoir internenir dans ce forum. J’ai deux enfants de bas age, je souhaite à tout le monde de pouvoir vivre ces moments de plaisir, d’inquiétude, de doute...
    Les enfants me font plair par leur sourir,leur regard enthousiasmé, surtout dans des moments difficiles. C’est vrai qu’ à un moment donné, surtout lorsque les enfants sont malades, c’est l’inquiétude, l’engoisse. Ce sont des moments qui sont des étapes qu’on doit traverser dans la vie.
    Ne pas avoir d’enfant(s)ou refuser d’avoir d’enfants, c’est fuir ses responsabilités.
    Les enfants, c’est plus de bonheur que de la melancolique.

    • noure groupe citadelle Répondre

      avoir des enfants,à quoi ça sert ?
      Je trouve que les enfants c’est le plus beau cadeau de dieu,parceque quand on a pas on est triste,desenparé,sans but dans la vie par contre quand on les a c’est la joie de vivre...

  • Magda V. Répondre

    Posée en ces termes, la question me semble relever de l’attrape. Il y a
    mille réponses possibles et les meilleures figurent déjà sur le site du
    débat. Je pense qu’il est inscrit dans le noyau dur du cerveau de
    chaque être humain ce désir pregnant de vouloir à un moment de sa vie
    mettre des enfants au monde. Pour la raison toute simple que la nature
    veut assurer la perpétuation de l’espèce. C’est froidement dit, mais
    c’est comme ça. On y répond ou non. Le coeur et la raison, qui sont le
    propre de l’être humain font le reste. Avec tous les grands et petits
    bonheurs et tous les mini et maxi soucis liés à la vocation de parents.
    Il y a quelques années la Ligue des Familles inscrivait un peu
    partout ce slogan : "Les enfants, c’est pour la vie". Ce mot "vie", on
    peut le prendre dans bien des sens. J’aime celui qui est lié à l’amour,

  • Annette Répondre

    C’est la plus belle chose au monde !la dernière réponse est très juste ;les enfants donnent les plus grandes joies mais elles ne vont pas sans grandes souffrances .(surtout lorsqu’ils sont malades)

    Je ne regrette rien à ma vie, je désirais de propos délibéré une famille nombreuse et j’ai été tout à fait comblée.Mon mari était le onzième d’une famille de 12 enfants.....et malgré les difficultés de la guerre, d’une maman décédée jeune et de peu d’argent, cette famille rayonnait la joie, le rire, l’humour en toutes les circonstances.

    Personnellement, je me sens très privilégiée mais je n’avais tout de même pas tout à fait réalisé que nos enfants nous sont prêtés et rien de plus,ils ont leur personnalité et non celle de leurs parents ;ils donnent aussi de très grands soucis lorsqu’ils refusent un dialogue sur des questions qui nous tiennent à coeur ou le manque de tendresse lorsque nous en avons besoin....bref il y a bien souvent un manque mais j’ajouterais à nos lectrices, que le secret du bonheur n’est pas de voir ce qu’ils donnent ou ne donnent pas, mais d’accepter que nous sommes des êtres limités et nous "parents" aussi. Donc ,ouvrons nos coeurs et nos talents vers tous les enfants qui nous entourent, n’ayons pas peur de faire le bonheur de chacun sans compter car ce sont aussi nos enfants.

  • Josée L. Répondre

    Avoir des enfants, c’est prendre la responsabilité à vie, des
    angoisses,
    des peurs etc..
    Mais cela procure également des bonheurs, insoupconnés du dévouements de
    soi,
    de la reconnaissance et un renouveau dans la vie, une continuité que pour
    rien au monde je n’aurais voulu rater.

  • Sophie Répondre

    Voilà une question que je ne me suis jamais posée.
    pour moi, j’ai toujours su que j’aurais des enfants et je les ai eues relativement jeune, la première s’annonçant déjà lors de ma dernière année d’étude.Leur naissance reste à compter parmi les plus grandes joies de ma vie et celles de mes 4 petits fils également. Bien sûr tout ne fut pas facile ; comme beaucoup d’autres femmes je me suis débattue parmi les problèmes en cascade que j’avais à surmonter, désireuse de mener à bien une carrière professionnelle tout en suivant mes enfants dans toutes les étapes de leur devenir.
    les crises de l’adolescence ont été particulièrement dures à surmonter mais je n’ai pas lâché prise et maintenant je peux me dire que je suis satisfaite et qu’elles ont répondu à mon attente et perpétuent les valeurs que j’ai essayées de leur transmettre comme j’ai pu.
    Aujourd’hui, nous formons une famille élargie dont tous les membres sont très proches et j’ai encore un peu l’impression de tenir ma place de "mater familias" recueillant les confidences de chacun mais ne me permettant plus de donner mon avis sauf à leur demande.Je suis là , la plus présente popssible mais sans pour autant jouer la sacrifiée !Et quand le moment sera venu pour moi de larguer les amarres, je m’en irai contente d’avoir laissé encore un peu de moi-même dans la pensée et peut-être le coeur des miens, et d’avoir rempli ma tâche sur terre, celle d’avoir contribué à perpétuer l’espèce humaine !

  • Rédac Répondre

    Dans un passé très lointain, la branche majoritaire de l’Humanité a répondu à cette question et a illico cessé de faire des enfants... Cette branche s’est éteinte. L’autre branche, la minoritaire, est celle dont nous sommes issus. Elle se pose toute sorte de questions sans jamais apporter de réponses vraiment satisfaisantes... Sans doute le secret de sa survie...

  • Stéphane Répondre

    A mon sens (et j’ai deux enfants), il n’y a aucune raison d’avoir des enfants aujourd’hui. A bien peser, il y a d’excellentes raisons de NE PAS en avoir : ça coûte cher, c’est du temps perdu sur votre vie personnelle, ça met en péril la vie de couple, ça occupe de la place etc. Toutes ces raisons sont valables, je les entends régulièrement et ne peut rien objecter.

    Avoir des enfants est donc quelque chose En PLUS dans nos vies, c’est une "pure dépense". Et rien en fait ne peut le justifier, sinon l’envie sans justification, d’en avoir. Cette envie est le conglomérat de différentes strates de notre histoire, on le sait. Reproduction du schéma familial, peur du vide, envie d’acheter des fringues pour enfant, envie de sauver le couple de l’enlisement, fantasmer l’abum de famille ou le dimanche au parc. Peu importe, ces raisons sont SUFFISANTE pour en avoir. Rien de transcendant dans mon discours, hein ? Le dépassement du "devoir conjugual" et de ses avatars remis à jour passe par là, par l’acception des mauvaises raisons et de notre part animale. Dans le fond, c’est plutôt libératoire.

  • Souris verte Répondre

    Consciemment ou non, dans les faits ou non, les enfants, ne sont-ils pas aussi une "assurance - vieillesse" ... ???

    • isabelle Répondre

      cela fait plusieurs fois que je passe par ici comme on passe dans un petit chemin agréable et cette question me perturbe !
      Comment peut-on poser cette question ?

      LES ENFANTS ne sont pas des choses, ils sont êtres vivants, pensants, libres.
      Moi, je me demande en revanche à quoi ont servi mes parents si ce n’est à nous faire beaucoup de mal, à moi et à mon frère ...
      voilà !
      j’ai 3 enfants et je suis très heureuse d’avoir cette chance !

      isabelle

      • Michèle, A&T rédac Répondre

        A quoi servent les parents ? Ah mais en voilà une bonne suggestion de nouveau débat 😉

        • i. Répondre

          A quoi servent les parents ?
          ...
          éduquer, aimer, caliner, comprendre, aider, ...
          MOi, j’ai grandi dans la peur, l’alcoolisme, les différences entre enfants ...
          je veux tout le contraire pour mes enfants.
          Aujourd’hui, mes filles ont 22 et 20 ans et mon fils 11 et je les vois réussir leurs études, avoir des amis, les recevoir chez nous, et je me dis que j’ai de la chance !
          J’aurais juste aimé pouvoir dire à ma mère à l’âge de 17 ans , tu as failli devenir grand-mère mais je suis allée seule chez le médecin ! et j’ai eu en moi, beaucoup de remords, de honte et de chagrin.
          J’aurais aimé que mon père ne boive pas et soit fière de moi quand mes études semblaient bien démarrer.
          Mais, quelqu’un m’a dit qu’il fallait pardonner à ses parents ! alors...
          je pardonne , MAISje n’oublie pas.

  • Sylvie Répondre

    A propos d’une dame assez rigide, stricte sur ses exigences et donc souvent insatisfaite, une amie me dit récemment : « on voit qu’elle n’a pas eu d’enfant, sinon elle aurait eu davantage l’habitude d’être bousculée ! ».
    Moi, qui venait d’être mère pour la deuxième fois, ça m’a fait réfléchir...
    Je suis tout compte fait assez d’accord, non pas qu’on ne puisse développer des facultés d’adaptation sans avoir d’enfant mais parce que, quand on a des enfants, on n’a pas le choix ! Tolérer plus de bruit, tolérer un certain désordre (ah ! l’horreur des petits jouets éparpillés dans la maison et de la panade étalée sur la table !), modifier ses rythmes les plus fondamentaux (sommeil, repas), modifier son organisation (qui va garder le petit malade aujourd’hui ?),... C’est dur mais avec des enfants en bas âge on ne peut pas faire autrement !
    Et puis quand vient l’âge de poser les premiers interdits, les règles de base, on ne peut alors faire l’économie de se poser des questions, sur soi, ses valeurs, ses limites...
    Douter et par moments, savoir lâcher prise - car, je suis assez d’accord avec Michèle, on n’a pas le contrôle sur tout - ce n’est pas facile mais c’est une formidable occasion d’évoluer !

  • Pat Répondre

    Lorsque, de vos enfants, la douleur des coups reçus est devenue largement supérieure à la douceur des câlins offerts, je comprends le nombre de parents qui choisissent l’isolement pour ESSAYER d’oublier qu’ils sont « Papa » ou « Maman », pour ESSAYER d’oublier que souvent « Avoir des enfants, finalement, pour ce qu’ils deviennent..., mieux vaut s’abstenir ».

    Une maman très déçue.

    • Michèle Répondre

      Merci de votre témoignage. C’est vrai, les enfants, c’est loin d’être toujours facile. Parce que parfois, on est tellement différent au départ, dans nos "gènes", qu’on a difficile à se comprendre, à s’apprécier. Un proverbe dit qu’on ne choisit pas ses parents. On pourrait rajouter qu’on ne choisit pas ses enfants. Il y a plein de choses qui nous échappent. Nous n’avons pas la maîtrise sur eux. Essayer d’avoir la maîtrise peut provoquer, je le crois, pire que mieux !

      • Bernadette Répondre

        J’ai bien envie de citer le poète libanais Khalil Gilbran nous parlant des enfants dans son livre "Le Prophète" :
        "Vos enfants ne sont pas vos enfants.
        Ce sont les fils et les filles du désir de Vie.
        Ils arrivent à travers vous mais non de vous.
        Et quoiqu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
        Vous pouvez leur donner votre amour mais non vos pensées,
        Car ils ont leurs pensées propres.
        Vous pouvez abriter leurs corps mais non leurs âmes,
        Car leurs âmes habitent la demeure de demain que vous ne pouvez visiter même dans vos rêves.
        Vous pouvez tenter d’être comme eux, mais n’essayez pas de les rendre comme vous.
        Car la vie ne s’en retourne pas en arrière ni ne s’attarde avec hier.
        Vous êtes les arcs qui projettent vos enfants comme des flèches vivantes.
        L’Archer voit le but sur le sentier de l’infini et Il vous tend de toute son énergie pour que ses flèches puissent aller vite et loin.
        Que cette force bandée par la main de l’Archer soit joyeuse ;
        Car, s’Il aime la flèche qui vole, Il aime aussi l’arc qui est stable."

        • Philippe Répondre

          Superbes paroles (bien que). que celles de ce poète libanais « Khalil Gilbran » dans son livre que vous citez, « Le Prophète » .Mais, avant d’aller plus loin, j’apprécierais de connaître votre age, si vous êtes maman, si oui de combien d’enfants, divorcée ou non, ..., bref, un peu de ce que, et surtout « qui » vous êtes ...

          Pas du tout par curiosité, oh non, mais tout simplement par ce que pour moi, ces mots sont pleins de vérité (ou presque) mais si peu réalistes.

          • Bernadette Répondre

            J’ai 61 ans, mariée mais, malgré une grosse crise, non divorcée. J’ai eu et élevé 3 enfants. Je suis aujourd’hui grand’mère de 2 petits-enfants. Je peux vous garantir que, tous les jours, j’expérimente que "nos enfants ne sont pas nos enfants et qu’on peut leur donner notre amour mais non nos pensées, car leurs âmes habitent la demeure de demain que nous ne pouvons visiter même dans nos rêves"... C’est une sacrée école de lâcher prise - ce qui est notre but ultime, ne l’oublions pas - et en même temps notre élixir de jouvence car toujours ils nous obligent à nous remettre en question et à construire du neuf. Comme le dit une autre correspondante, quelle sacrée "assurance contre la vieillesse !"

        • Joyce Répondre

          Personnellement, je suis tout à fait d’accord par rapport au propos du poète libanais Khalil Gilbran.
          Je suis mère d’un enfant, pour moi l’enfant est un être précieux qui représente l’avenir, l’avenir de demain. Nous ne pouvons pas leur imposer nos décisions, nos rêves que nous n’avons pu réaliser dans le passé. L’enfant est un être qui nous donne une force intérieure qui doit nous permettre d’avancer, mon fils c’est ma force et cela me permet d’aller de l’avant. Mon désir est que mon fils ne se laisse pas influencer mais qu’il reste lui-même.

  • Alice Répondre

    Avoir des enfants...à quoi ça sert ?

    Ce sont les parents qui aiment leurs enfants, et non les enfants leurs parents....
    Françoise Dolto.

    Cette phrase de Françoise Dolto résume très bien le thème du jour !

    Cette formule éveille en moi un éventail de sentiments qui n’engage que moi...

    Réussite, patience, chance, douceur, tranquillité, échec, découvertes..

    J’ai tellement cru aux vertus du dialogue, à la confiance réciproque et cependant j’en suis aujourd’hui à me poser tellement de questions...

    J‘ai toujours aimé les enfants, j’ai toute ma vie rêvé d’en avoir beaucoup...
    Mais ...je rêvais !

    J’ai attendu ma fille unique pendant 13 ans, heureuse d’avoir en dépit de la malchance qui me poursuivait donné le jour à ce bébé tant attendu et tant aimé.
    Ma crainte était de ne pas lui donner assez d’amour, d’attentions.
    Dès l’instant ou je l’ai mise au monde, je me suis interrogée sur la meilleure façon de l’aider, de lui donner ses meilleures chances, mais j’ai acquis la certitude aujourd’hui que l’on ne peut rien empêcher, rien transmettre, juste prodiguer des conseils qui ne sont pas toujours ( souvent ) bien compris !
    Ma fille est une femme et une Maman aujourd’hui et tout en « encaissant » chaque coup qu’il lui est porté, je n’ai plus que le droit de me taire.
    J’aimerais tellement pouvoir encore lui parler, expliquer, partager, et cependant, le plus souvent afin d’éviter certains conflits, je reste bloquée dans mon personnage de Mère classique, tout en gardant en moi le merveilleux souvenir de sa naissance, de son enfance, de tout le vécu passé ensemble.
    Pour établir une relation de qualité il faut être deux, alors j’ai cessé de jouer seule et j’attend qu’elle redécouvre la tendresse.
    Mais c’est dans l’urgence...bientôt...très vite... que j’ai besoin de cette tendresse...

    Elle vit très loin de moi, et est incontestablement heureuse lorsque j’arrive...mais peut être plus lorsque je pars...Est ce normal ?

    Alors revenons en à la question première : A quoi ça sert d’avoir des enfants ?

    Ça sert à être heureux de voir le sourire d’un enfant à son réveil...
    Ça sert à apporter de la lumière dans certains jours tristes...
    Ça sert à garder l’espoir d’un sourire, d’un baiser, le jour ou l’on se sent fatigué...

    Mais...
    Ça sert aussi à faire mal...à se faire du souci... à douter.... à avoir du chagrin...

    En résumé, ils sont irremplaçables...
    Ils servent à faire pleurer de tristesse ou à vous inonder de bonheur !

  • Michèle Répondre

    Récemment, j’ai lu quelque part qu’avoir un enfant servait à transcender la mort, aimer et être aimé et ne pas s’ennuyer ... Je suis d’accord avec ça ! Cela fait certainement partie des raisons principales qui m’ont poussées à un certain moment à en avoir !

  • dadu Répondre

    La nature est ainsi faite que tout être vivant, animal, végétal ou humain cherche à se reproduire et assurer la continuité de l’espèce. Au delà de ces considérations, l’arrivée d’un enfant dans notre vie la transforme inéluctablement.Une bouffée de tendresse, un souffle d’amour, une responsabilité qui augmente au fil des jours mais c’est aussi un énorme lot de joies, de peines, de fiertés, de déceptions. Et pour terminer je voudrais citer Pasteur qui disait :" Quand je vois un enfant, il m’inspire deux sentiments:de la tendresse pour ce qu’il est et du respect pour ce qu’il peut devenir."

    • citadelle fatima Répondre

      mes enfants sont ma bouffèe d’oxygène.Ils me donnent une force pour affronter la vie quotidinne. Leurs rires,leurs joies m’ouvrent le coeur ;ils me remettent en questions.on les critique parfois mais ils sont le reflet de cette société toujours de plus en plus exigeante. Ne devons nous pas accorder plus de sens au vrai valeur leur laisser le temps de grandir de s’epanouir a leur rhytme prendre le temps de les aimer.

  • shanti Répondre

    A apprendre, à sourire, à espérer, à être altruiste, à perpétuer le savoir, à réver...
    Finalement, les petits sont grands !

    • Patrice Répondre

      Les enfants, ça doit servir à quelque chose ? En tous cas, ils sont livrés sans mode d’emploi !

      Place aux élans du coeur, à la spontanéïté et à ... l’improvisation. Mais quelle belle expérience, qui nous oblige souvent à nous remettre en question , sinon, fini le dialogue ...

      Franchement, les enfants, ça sert : à aimer et à être aimé, et chaque jour, nous pouvons recommencer !

      • aede Répondre

        Bonjour

        Mais vous n’avez pas d’enfants ?

        • Gisèle Répondre

          à rien !!!
          Parce que c’est du temps perdu.
          Avec ce temps là je peux gagner de l’argent.
          Avec l’argent je peux m’acheter une voiture.
          Et lorsque j’ai ma voiture je vais continuer à dépenser de l’argent pour moi même.
          Et un amant quand j’ai besoin de temps à autre.
          Conclusion : pas d’enfants pas de mari
          être egoïste...
          Parce que il faut pas se casser la tête pour quelqu’un d’autre que soi.

          • Répondre

            Je pourrais faire éventuellement un effort et comprendre votre point de vue. Mais alors une question me vient à l’esprit :

            A quoi « servent et/ou serviront » les enfants des autres ? A payer votre pension ou ...?

          • Patience Répondre

            Je n’ai pas à te juger, peut être c’est par rapport à ton enfance ...
            Un enfant ,c’est le plus beau cadeau qu’on puisse avoir. L’argent à quoi ça va servir si tu ne sais pas à avec qui le partager. A la fête des mères, t’as pas cette envie, cette sensation d’avoir un cadeau de ton enfant, même celles qui n’ont pas d’enfant au jour de la fête des mères elles y pensent. Il faut avoir un cœur dur pour ne pas y penser.

          • rais Répondre

            24 mars 2006 réponse à Gisèle

            Je pense qu’aujourd’hui on pense tous à assurer son avenir d’abord et que le danger, pour certain, commence là. Ils tombent dans l’habitude, et comme toutes les habitudes qui nous conviennent, on ne les change pas. C’est formidable d’assumer si on est jeune parce qu’on peut se rattraper mais ça devient triste si on se rend compte trop tard qu’on n’est passé à côté de quelque chose ? De quelqu’un ?

            Bien- entendu, il ne faut pas en faire si c’est pour les rendre malheureux.

            Rais

          • Lolanou Répondre

            Chère Gisèle,

            Tu dois sûrement être encore très jeune pour penser comme ça ! Ou si ce n’est pas le cas, je pense que tu es inconsciente car, à mon avis, le plus beau bonheur pour une femme, c’est de mettre au monde un enfant "son enfant" !!! Je suis maman de 2 petits anges et au jour d’aujourd’hui je ne vois pas ma vie sans eux. Ils me comblent d’amour, m’apprennent à évoluer et chaque jour qui passe en leur présence est un merveilleux souvenir pour moi.

            Je suis triste pour toi, car étant maman je sais le bonheur que tu rates. Heureusement, il n’y a pas beaucoup de gens qui pensent comme toi, sinon on mettrait un terme aux générations suivantes !

            Si ton but dans la vie est le bonheur artificiel alors oui, avoir de l’argent, une belle voiture et de beaux vêtements est très important, mais tout ça est éphémère. Le vrai bonheur, c’est de voir grandir ses enfants et pouvoir leur transmettre tout l’amour que nos parents nous ont donner.

          • Farouche Répondre

            Oléééééééééééééééééééééééééééééééééé.
            Je suis d’accord pour le mari mais pas du tout pour les enfants. Je vis seule avec 3 enfants mais purée, je pourrais jamais m’en passer. Mes enfants me servent à garder ma joie de vivre, ma jeunesse, ils entretiennent mes qualités et effacent mes défauts, ils me donnent l’envie d’aimer ou plutôt de les aimer chaques jours de ma vie. Ils sont mon plus grand bonheur, ce que j’ai fait de mieux dans ma vie. Ils sont mes défis aussi car, élever des enfants, c’est un défi de tous les jours. Je peux pas vivre sans mes enfants. La maison est trop calme, je me sens inutile, je tourne en rond, c’est pour devenir fou lol. J’ai besoin de leurs rires, de leurs sourires, de voir dans leurs yeux leur innocence, leur amour, leurs peines, leurs joies,... Besoin de les caliner et qu’ils me calinent, les consoler, les faire rire,... Ils servent à tellement de choses, difficile de décrire tout ça. Par contre, pour moi, un homme ne sert à rien et là ,je parle par expérience mais pas envie de m’étendre sur ce sujet 😉 Mes enfants, c’est moi. Si je devais en perdre un, je me perdrai moi-même.
            Amitiés, Fa.

          • Répondre

            J’espère que peu de gens pensent comme vous. Rien ne vaut plus cher sur cette Terre que les rires d’un enfant, surtout quand c’est le vôtre ! En tout cas, je suis bien désolée pour vous... car votre vie me semble n’être basée que sur du matériel et du superficiel... aucun sentiment, aucun amour,... Pour rien au monde, je ne souhaiterai être à votre place, surtout quand votre monde ne se contente que d’argent et que de voitures.

            • Laure Répondre

              Chacun mène sa vie comme il l’entend. Ne pas avoir d’enfant, c’est un choix à respecter...

              Un enfant est un être qui a besoin d’amour plus que quiconque. C’est l’occasion de donner immensément d’amour, comme on ne le fait jamais pour personne ! Donner de l’amour, ça fait du bien... ça apporte un peu de douceur dans la vie, ça décrispe !
              Elever un enfant, ça n’est pas de tout repos... mais ça permet de rester en forme, jeune d’esprit et de développer nos capacités d’adaptation !
              Bref, je crois que c’est bon pour la santé de faire des enfants ! ...peut-être moins bon pour le portefeuille ?!

          • pascal fij Répondre

            hello Gisèle, j’ai deux enfants , le premier m’a apporté beaucoup de sérénité et d’amour sans que je lui demande car se sentir aimé c’est d’abord aimer, le second enfant est un soleil dans ma vie. Nos jours sont si gris et l’on se retrouve plus d’une fois dans sa vie confronté au côté obscur. Mes deux enfants sont un champ de fleurs tout l’année. Tu veux te sentir aimé, être bien dans ta tête, et savoir ce que partager pour ceux que l’on aime et que l’égoïsme ne fait plus partie de notre vie, une fois que ces petis êtres qui donnent un sens à sa vie sont là. Voilà...

          • samira citadelle Répondre

            Je trouve que vous étes assez égoïse pour penser comme ça, car l’enfant ne remplace pas l’argent il apporte l’amour, la joie et surtout de l’avoir porter 9 mois dans notre corps comment voulez - vous ne pas l’aimer.

          • aya tita Répondre

            Tu es égoiste, avoir un enfant ou plusieurs c’est le plus cadeau au monde ! Je suis maman d’un garçon au début je ne me voyais pas du tout d’être maman et j’étais pas prête !!!!!!je peux te jurer ! mon enfant à ouvert ma façon de voir les choses avec mon entourage.... je suis devenu plus féminine, plus sensible.
            Mon enfant est ma raison de vivre, il m’apporte beaucoup d’amour de tendresse, grâce a mon fils, je découvre plains de bonnes choses et quand mon mari n’es pas libre mon fils est là pour me combler ou sinon pour sortir en vélo, au parc ; au cinéma ,etc... aprés 16h je suis impatiante de voir mon fils.....je suis une maman comblée et tout l’argent du monde ne pourra jamais remplacer mon fils et son amour.

          • hemjy Répondre

            De nos jours, la plupart des gens ne veulent pas d’enfants pour avoir plus de temps pour eux-même.C’est bien de penser à soi, mais quand on est rendu à un point où on ne veut pas d’enfant pour avoir une plus belle voiture...... Je trouve que c’est un acte d’égoisme. Je n’ai pas d’enfant présentement mais j’ai tellement hâte d’en avoir ! Je suis convaincu que l’arrivée d’un bébé doit être la chose la plus magnifique au monde !! Il faut arrêter de penser que ça coute cher. Un enfant ne t’apporte pas que du trouble, il t’apporte aussi de l’amour ! Et pour vivre, on en a tous besoin. Je vis dans une génération où les femmes ne veulent plus d’enfants ou presque, à cause du métier et de l’argent. C’ est à ne rien y comprendre....

      • existe Répondre

        avoir des enfants ça sert à perpétuer l’humanté : grâce à ces cadeaux que la nature nous confie pour les aimer et les éduquer en préparant leur avenir, profiter de leur charme et de la joie qu’ils nous apportent en leur donnant ce qu’il ya de mieux dans notre univers,nous assurons l’existence de l’homme sur cette terre

    • Répondre

      Madame, Mademoiselle ou Monsieur Shanti

      Je m’interroge.

      N’avez-vous pas fait une faute d’orthographe en doublant deux lettres, le « A » et le « P »

      En écrivant que les enfants, ça sert « A apprendre », n’avez -vous, tout simplement, pas voulu dire que les enfants, ça sert « A prendre » ?

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